Dans un monde de plus en plus contraint, la technologies n’est pas toujours salvatrice : surconsommation de ressource, augmentation des inégalités, effet rebond et déchets très peu recyclés. Au fur et à mesure de cette course en avant, les environnements de travail et les modèles d’entreprises évoluent. Ces phénomènes s’accompagnent souvent d’une diminution du bonheur au travail : burn-out, perte de sens, bullshit jobs.
En réaction à cela, la low-tech se fait le porte étendard d’une autre relation à la technique, repensée pour être utile, durable, accessible. Elle nous invite à imaginer un monde plus sobre, plus résilient, plus juste, plus local. Dans une telle perspective, qu’en est-il du travail ?
Les intervenants issus d’horizons différents apporteront leur témoignage et leur vision d’un travail réinventé à l’ère de la low-tech.