Exercice singulier, le Reboot Camp a été co-créé avec l’équipe de 360 Possibles et l’agence Inofaber – Sylvie Courcelle.

Bretagne Développement Innovation a réalisé une étude qui permet de faire le bilan. Plus de 20 entreprises s’y sont soumises depuis sa création. L’étude a permis de questionner les acteurs afin d’en tirer un bilan et d’envisager l’avenir.

Quel est l’objectif de cette étude sur le Reboot Camp ?

Au-delà de l’enthousiasme constaté de la part des participants il était nécessaire de mesurer les retombées réelles de l’exercice.

Cette étude vise à apporter un bilan de ce format. « Avec plus de 3 années de recul et plus de 20 entreprises « rebootées » (au moment de l’enquête), il était intéressant d’avoir le retour d’expérience des participants », souligne Emilie de BDI qui a réalisé l’étude. Certains pouvant témoigner de l’impact de l’exercice trois ans après.

In fine, il s’agit également :

  • de penser des évolutions
  • d’envisager d’autres formats
  • d’améliorer la méthode.
Comment fonctionne un Reboot Camp ?

Un Reboot Camp vise à résoudre une problématique d’entreprise par la recherche de solutions innovantes, centrée sur l’utilisateur et utilisant l’intelligence collective.

Concrètement, il s’agit d’un atelier conduit par un animateur expérimenté pendant lequel un groupe de 8 à 10 personnes, validé par l’entreprise, va travailler sur la problématique soumise. Le processus de travail (environ 4 heures) repose sur des méthodes et des outils d’innovation, de créativité et de design thinking auxquelles sont formées les équipes.

A qui s’adresse-t-il ?

Même s’il permet de couvrir un spectre très large d’entreprises et de problématiques, le Reboot Camp vise une entreprise qui souhaite reconsidérer complètement son offre de produits ou de services ou qui veut revoir sa façon de s’adresser à ses clients, actuels ou nouveaux. Il requiert de bien définir la problématique en amont et d’avoir collecté certaines données sur le nouveau segment de marché visé.

Lire la suite des résultats de l’étude et découvrir le témoignage d’un participant sur bdi.fr